le Peché

INTRODUCTION
Le péché est littéralement définit comme étant le fait de manquer le but. Car, selon les textes hébreu et grec de la bible, Dieu a lui-même fixé le BUT que ses créatures intelligentes doivent atteindre ; et, lorsqu’elles le manquent, elles pèchent, parce qu’elles succombent à l’injustice ou au mépris de la loi divine.
Toutefois, le mot ‟péché” englobe tout ce qui n’est pas en harmonie avec la personnalité, les normes, les voies et la volonté de Dieu. Autrement dit, le péché est une iniquité, la transgression de la volonté et de la loi divine.
I/ La conviction du péché
Le dictionnaire définit la conviction comme étant une certitude que l’on a de la vérité d’un fait, d’un principe. Il existe deux sortes de convictions et la vie sans cette conviction doit nous amener à la rechercher.
A- Les deux sortes de convictions : celle du païen et celle du chrétien
Toutefois, le mot ‟péché” englobe tout ce qui n’est pas en harmonie avec la personnalité, les normes, les voies et la volonté de Dieu. Autrement dit, le péché est une iniquité, la transgression de la volonté et de la loi divine.
I/ La conviction du péché
Le dictionnaire définit la conviction comme étant une certitude que l’on a de la vérité d’un fait, d’un principe. Il existe deux sortes de convictions et la vie sans cette conviction doit nous amener à la rechercher.
A- Les deux sortes de convictions : celle du païen et celle du chrétien
- La conviction des païens consiste en la connaissance du bien et du mal, parce que la loi est inscrite dans leur conscience et s’accoutume avec ce qu’il vénère. «Quand les païens, qui n’ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n’ont point la loi, une loi pour eux-mêmes ; ils montrent que l’oeuvre de la loi est écrite dans leurs coeurs, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s’accusant ou se défendant tour à tour.» (Rom 2 : 14-15).
- La conviction du chrétien est sur le plan biblique l’oeuvre du Saint-Esprit dans l’âme du croyant pour lui montrer qu’il a mal agit ou ce qu’il a fait est mauvais. En effet, c’est le Saint-Esprit qui rejette ou pousse les choses qui le gênent et l’empêche de nous remplir et nous bénir, car il produit en nous la douleur du péché.
B- Vie sans conviction du péché : la tiédeur spirituelle
«Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu » (Ap 3 : 16-17).
C’est donc l’état d’une personne qui se croit juste devant Dieu et est convaincue que ce sont les autres qui sont mauvais, méchants, et c’est le péché commis par le prochain qui détruit l’Eglise et peut amener quelqu’un en enfer. Cette personne trouve des justifications lorsque qu’elle pèche. Voila pourquoi devant le Seigneur, au jour du jugement, il présente ses oeuvres : «Deux hommes montèrent au temple pour prier ; l’un était pharisien, et l’autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : O Dieu, je te rends grâce de ce que je ne suis pas comme ce publicain, je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre. Car quiconque s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé.» (Luc 18 : 10-14).
Cette personne n’a plus l’onction sainte, le miel de Dieu, mais l’onction de miracle, de guérison, de prophétie, de louange, de prédication. Et, elle est surprise d’être ignorée par le Seigneur : « Plusieurs me diront en ce jour là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité » Mat 7 : 22-23.
Il ne connait pas son malheur, sa misère, sa pauvreté et il est aveugle : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu » Apoc 3 : 16-17. Il n’y a rien de misérable quand tu ignores que tu es maudit (Deut 28 : 15- 16) pendant que tu es loin de la bénédiction (Deut 28 : 1-14).
«Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu » (Ap 3 : 16-17).
C’est donc l’état d’une personne qui se croit juste devant Dieu et est convaincue que ce sont les autres qui sont mauvais, méchants, et c’est le péché commis par le prochain qui détruit l’Eglise et peut amener quelqu’un en enfer. Cette personne trouve des justifications lorsque qu’elle pèche. Voila pourquoi devant le Seigneur, au jour du jugement, il présente ses oeuvres : «Deux hommes montèrent au temple pour prier ; l’un était pharisien, et l’autre publicain. Le pharisien, debout, priait ainsi en lui-même : O Dieu, je te rends grâce de ce que je ne suis pas comme ce publicain, je jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tous mes revenus. Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : O Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. Je vous le dis, celui-ci descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre. Car quiconque s’élève sera abaissé, et celui qui s’abaisse sera élevé.» (Luc 18 : 10-14).
Cette personne n’a plus l’onction sainte, le miel de Dieu, mais l’onction de miracle, de guérison, de prophétie, de louange, de prédication. Et, elle est surprise d’être ignorée par le Seigneur : « Plusieurs me diront en ce jour là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? N’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? Et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité » Mat 7 : 22-23.
Il ne connait pas son malheur, sa misère, sa pauvreté et il est aveugle : « Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu » Apoc 3 : 16-17. Il n’y a rien de misérable quand tu ignores que tu es maudit (Deut 28 : 15- 16) pendant que tu es loin de la bénédiction (Deut 28 : 1-14).
- Quels sont les remarques qui te viennent à l’esprit quand tu examine ta vie dans le Seigneur ? « Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi, éprouvez vous vous-mêmes. Ne reconnaissez vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins peut être que vous ne soyez reprouvés » (2 cor 13 : 5 ). Pourquoi cette peine en vain « Etes vous tellement dépourvus de sens ? Après avoir commencé par l’Esprit, voulez-vous maintenant finir par la chair ? Avez-vous tant souffert en vain ? Si toutefois c’est en vain. » (Gal 3 : 3-4) alors que Dieu est venu pour que tu ais une vie en abondance ? « le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance. » Jean 10 : 10.
- Pourquoi tu choisis la position d’être reniée par le Seigneur alors que tu as la possibilité de vivre une vie victorieuse ? « Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine, et Dieu, qui est fidèle, ne permettra pas que vous soyez tenté au delà de vos forces, mais avec la tentation il préparera aussi le moyen d’en sortie, afin que vous puissiez la supporter ? » 1 Cor 10 : 13
C- Recherche de la conviction du péché
Lorsque David fit son propre sondage, il ne trouva rien qui soit à l’origine de ses malheurs, alors il demanda à Dieu de le sonder et de l’éprouver. « Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur ! Eprouve-moi, et connais mes pensées ! Regarde si je suis sur une mauvaise voie, et conduis moi sur la voie de l’éternité ! » Ps 139 : 23-24.
Toi, aussi, prie comme David pour faire un examen de tes actes et tu sauras ta condition, et examine-toi devant le Seigneur pour savoir si tu lui es agréable. L’apôtre Paul nous dit : « Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi, éprouvez vous vous-mêmes. Ne reconnaissez vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins peut être que vous ne soyez reprouvés. » 2 Cor 13 : 5.
Psaume 36 : 10, quand tu étais dans la lumière de Dieu, rien ne te surprenait et maintenant que tu es dans les ténèbres, tu vis dans les surprises, les maladies, les échecs, dans la disparition fréquente des parents. Alors, demande la lumière de Dieu afin de voir ce que tu es, ce qui se passe autour de toi et où tu vas. Car, il est écrit : « Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde, celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » Jean 8 : 12.
Sur le plan biblique, la conviction du péché c’est l’oeuvre du Saint-Esprit dans l’âme du croyant pour lui montrer que le péché est mauvais. Elle est l’élément essentiel de la repentance. Avant de pouvoir venir à la croix de Christ, et demander pardon pour nos péchés, nous devons être convaincus que nous sommes pécheurs : « Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement ». Jean 16 : 8
II/ Les conséquences du péché
La pratique du péché entraine plusieurs conséquences fâcheuses en nous et dans nos vies.
A- La mort spirituelle
La Bible nous dit que : « car le salaire du péché c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur » Rom 6 : 23. Celle-ci peut se matérialiser par l’arrêt de la manifestation du Saint-Esprit.
B- Malédictions (maladies, souffrances…)
« Il dit à l’homme : puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. » Gen 3 : 17-18.
« La colère de l’Eternel s’enflamma contre eux. Et il s’en alla. La nuée se retirera de dessus la tente. Et voici, Marie était frappée d’une lèpre, blanche comme neige, Aaron se tourna vers Marie, et voici, elle avait la lèpre. » Nombres 12 : 9-10.
C- Abandon de la personne par Dieu
Dans ce cas, Dieu se détourne de la personne et la vomit. Ce fut le cas des fils du sacrificateur Eli Hophni et Phinées.
1 Sam 2 : 12-17 et les versets 22-25 « Les fils d’Eli étaient des hommes pervers, ils ne connaissaient point l’Eternel. Et voici quelle était la manière d’agir de ces sacrificateurs à l’égard du peuple. Lorsque quelqu’un offrait un sacrifice, le serviteur du sacrificateur arrivait au moment où l’on faisait cuire la chair. Tenant à la main une fourchette à trois dents, il piquait dans la chaudière, dans le chaudron, dans la marmite, ou dans le pot ; et tout ce que la fourchette amenait, le sacrificateur le prenait pour lui (…). Ces jeunes gens se rendaient coupables devant l’Eternel d’un très grand péché, parce qu’ils méprisaient les offrandes de l’Eternel.
Eli était fort âgé et il apprit comment ses fils agissaient à l’égard de tout Israël, il apprit aussi qu’ils couchaient avec les femmes qui s’assemblaient à l’entrée de la tente d’assignation. Il leur dit : Pourquoi faites-vous de telles choses ? Car j’apprends de tout le peuple vos mauvaises actions. Non, mes enfants, ce que j’entends dire n’est pas bon, vous faites pécher le peuple de l’Eternel. Si un homme pèche contre un autre homme, Dieu le jugera, mais s’il pèche contre l’Eternel, qui intercédera pour lui ? Et ils n’écoutèrent point la voix de leur père, car l’Eternel voulait les faire mourir. »
D- La souffrance de l’âme
Dans le Psaume 32 : 3- 4, il est dit : « Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée, car nuit et jour ta main s’appesantissait sur moi, ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. Pause »
Quand le péché rongeait David, son âme était en souffrance :
- Ses os se consumaient ;
- Sa vie était remplie de gémissement ;
- Nuit et jour il sentait que le ciel allait tomber sur lui ;
- Il se sentait affaibli : manque de courage, de volonté et d’initiative.
Ces différents maux, sont ils également ton partage ? Au lieu de commencer à vivre l’enfer sur terre, réveille-toi. « C’est pour cela qu’il est dit : Réveille-toi, toi qui dors, relève-toi d’entre les morts. Et Christ t’éclairera ». Eph 5 : 14
E- La souffrance familiale
Le péché de David a amené le malheur dans la maison. « Maintenant, l’épée ne s’éloignera jamais de ta maison, parce que tu m’as méprisé, et parce que tu as pris la femme d’Urie, le Héthien, pour en faire ta femme. Ainsi, parle l’Eternel : Voici, je vais faire sortir de ta maison le malheur contre toi, et je vais prendre sous tes yeux tes propres femmes pour les donner à un autre, qui couchera avec elles à la vue de ce soleil. Car tu as agi en secret, et moi, je ferai cela en présence de tout Israël et à la face du soleil. » 2 Samuel 12 : 10-12.
Lorsque David fit son propre sondage, il ne trouva rien qui soit à l’origine de ses malheurs, alors il demanda à Dieu de le sonder et de l’éprouver. « Sonde-moi, ô Dieu, et connais mon coeur ! Eprouve-moi, et connais mes pensées ! Regarde si je suis sur une mauvaise voie, et conduis moi sur la voie de l’éternité ! » Ps 139 : 23-24.
Toi, aussi, prie comme David pour faire un examen de tes actes et tu sauras ta condition, et examine-toi devant le Seigneur pour savoir si tu lui es agréable. L’apôtre Paul nous dit : « Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi, éprouvez vous vous-mêmes. Ne reconnaissez vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins peut être que vous ne soyez reprouvés. » 2 Cor 13 : 5.
Psaume 36 : 10, quand tu étais dans la lumière de Dieu, rien ne te surprenait et maintenant que tu es dans les ténèbres, tu vis dans les surprises, les maladies, les échecs, dans la disparition fréquente des parents. Alors, demande la lumière de Dieu afin de voir ce que tu es, ce qui se passe autour de toi et où tu vas. Car, il est écrit : « Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde, celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. » Jean 8 : 12.
Sur le plan biblique, la conviction du péché c’est l’oeuvre du Saint-Esprit dans l’âme du croyant pour lui montrer que le péché est mauvais. Elle est l’élément essentiel de la repentance. Avant de pouvoir venir à la croix de Christ, et demander pardon pour nos péchés, nous devons être convaincus que nous sommes pécheurs : « Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement ». Jean 16 : 8
II/ Les conséquences du péché
La pratique du péché entraine plusieurs conséquences fâcheuses en nous et dans nos vies.
A- La mort spirituelle
La Bible nous dit que : « car le salaire du péché c’est la mort, mais le don gratuit de Dieu c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur » Rom 6 : 23. Celle-ci peut se matérialiser par l’arrêt de la manifestation du Saint-Esprit.
B- Malédictions (maladies, souffrances…)
« Il dit à l’homme : puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l’arbre au sujet duquel je t’avais donné cet ordre : Tu n’en mangeras point ! Le sol sera maudit à cause de toi. C’est à force de peine que tu en tireras ta nourriture tous les jours de ta vie, il te produira des épines et des ronces, et tu mangeras de l’herbe des champs. » Gen 3 : 17-18.
« La colère de l’Eternel s’enflamma contre eux. Et il s’en alla. La nuée se retirera de dessus la tente. Et voici, Marie était frappée d’une lèpre, blanche comme neige, Aaron se tourna vers Marie, et voici, elle avait la lèpre. » Nombres 12 : 9-10.
C- Abandon de la personne par Dieu
Dans ce cas, Dieu se détourne de la personne et la vomit. Ce fut le cas des fils du sacrificateur Eli Hophni et Phinées.
1 Sam 2 : 12-17 et les versets 22-25 « Les fils d’Eli étaient des hommes pervers, ils ne connaissaient point l’Eternel. Et voici quelle était la manière d’agir de ces sacrificateurs à l’égard du peuple. Lorsque quelqu’un offrait un sacrifice, le serviteur du sacrificateur arrivait au moment où l’on faisait cuire la chair. Tenant à la main une fourchette à trois dents, il piquait dans la chaudière, dans le chaudron, dans la marmite, ou dans le pot ; et tout ce que la fourchette amenait, le sacrificateur le prenait pour lui (…). Ces jeunes gens se rendaient coupables devant l’Eternel d’un très grand péché, parce qu’ils méprisaient les offrandes de l’Eternel.
Eli était fort âgé et il apprit comment ses fils agissaient à l’égard de tout Israël, il apprit aussi qu’ils couchaient avec les femmes qui s’assemblaient à l’entrée de la tente d’assignation. Il leur dit : Pourquoi faites-vous de telles choses ? Car j’apprends de tout le peuple vos mauvaises actions. Non, mes enfants, ce que j’entends dire n’est pas bon, vous faites pécher le peuple de l’Eternel. Si un homme pèche contre un autre homme, Dieu le jugera, mais s’il pèche contre l’Eternel, qui intercédera pour lui ? Et ils n’écoutèrent point la voix de leur père, car l’Eternel voulait les faire mourir. »
D- La souffrance de l’âme
Dans le Psaume 32 : 3- 4, il est dit : « Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée, car nuit et jour ta main s’appesantissait sur moi, ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. Pause »
Quand le péché rongeait David, son âme était en souffrance :
- Ses os se consumaient ;
- Sa vie était remplie de gémissement ;
- Nuit et jour il sentait que le ciel allait tomber sur lui ;
- Il se sentait affaibli : manque de courage, de volonté et d’initiative.
Ces différents maux, sont ils également ton partage ? Au lieu de commencer à vivre l’enfer sur terre, réveille-toi. « C’est pour cela qu’il est dit : Réveille-toi, toi qui dors, relève-toi d’entre les morts. Et Christ t’éclairera ». Eph 5 : 14
E- La souffrance familiale
Le péché de David a amené le malheur dans la maison. « Maintenant, l’épée ne s’éloignera jamais de ta maison, parce que tu m’as méprisé, et parce que tu as pris la femme d’Urie, le Héthien, pour en faire ta femme. Ainsi, parle l’Eternel : Voici, je vais faire sortir de ta maison le malheur contre toi, et je vais prendre sous tes yeux tes propres femmes pour les donner à un autre, qui couchera avec elles à la vue de ce soleil. Car tu as agi en secret, et moi, je ferai cela en présence de tout Israël et à la face du soleil. » 2 Samuel 12 : 10-12.
- Son fils Amnon commit l’inceste avec sa soeur.
« Alors Amnon dit à Tamar : Apporte le met dans la chambre, et que je le mange de la main. Tamar prit les gâteaux qu’elle avait faits, et les porta à Amnon, son frère, dans la chambre. Comme elle les lui présentait à manger, il la saisit et lui dit : Viens, couche avec moi, ma soeur. Elle lui répondit : Non, confrère, ne me déshonore pas, car on n’agit point ainsi en Israël, ne commets pas cette infamie. »
- Absalom tua son frère.
« Absalom donna cet ordre à ses serviteurs : Faites attention quand le coeur d’Amnon sera égayé par le vin et que je vous dirai : Frappez Amnon ! Alors tuez-le, ne craignez point, n’est ce pas moi qui vous l’ordonne ? Soyez fermes, et montrez du courage ! Les serviteurs d’Absalom traitèrent Amnon comme Absalom l’avait ordonné. Et tous les fils du roi se levèrent, montèrent chacun sur son mulet, et s’enfuirent. » 2 Samuel 13 : 28-29
- Absalom, son fils le chassa du trône.
« Quelqu’un vint informer David, et lui dit : Le coeur des hommes d’Israël s’est tourné vers Absalom. Et David dit à tous ses serviteurs qui étaient avec lui à Jérusalem : Levez-vous, fuyons, car il n’y aura point de salut pour nous devant Absalom. Hâtez-vous de partir, sinon, il ne tarderait pas à nous atteindre, et il nous précipiterait dans le malheur et frapperait la ville du tranchant de l’épée. » 2 Samuel 15 : 13-14
- Absalom, son fils coucha avec ses concubines en publique.
« Absalom dit à Achitophel : Consultez ensemble, qu’avons-nous à faire ? Et Achitophel dit à Absalom : Va vers les concubines que ton père a laissées pour garder la maison, ainsi tout Israël saura que tu t’es rendu odieux à ton père, et les mains de tous ceux qui sont avec toi se fortifieront. On dressa pour Absalom une tente sur le toit, et Absalom alla vers les concubines de son père, aux yeux de tout Israel. » 2 Samuel 16 : 20-22.
Et toi, comment tu vois ta famille ? Tes enfants sont ils en souffrance ? Y a t-il des mariages dans ta famille ? Les gens réussissent-ils dans ta famille ? Examine-toi, ton péché peut causer tous ces malheurs avant de les condamner.
III/ Le pardon
Le dictionnaire définit le pardon comme étant la rémission d’une faute, d’une offense. C’est le moyen par lequel nous pouvons obtenir le pardon de Dieu. Matthieu 6 : 14-15.
A- Pardonner son prochain pour être pardonné par Dieu
Avant de demander pardon au Seigneur pour tes transgressions ou tes fautes, il faudrait d’abord pardonner à ton prochain. « Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés » Math 6 : 12. Mais si tu refuses de pardonner ton prochain, Dieu agira de la sorte à ton égard et tu demeureras dans le péché, ce qui t’occasionnera des souffrances : « Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre père céleste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. » Math 6 : 14-15.
Le pardon est l’acte qui permet aux chrétiens de revenir vers leur Père céleste après avoir été offensé par le prochain, afin de rétablir la communion avec Dieu et son prochain. Il fut la force de David, qui l’accorda à Saul qui a cherché à le tuer ce, à plusieurs reprises. Lorsque David eut l’occasion de se venger il dit : « Loin de moi, par l’Eternel ! De porter la main sur l’oint de l’Eternel !prends seulement la lance qui à son chevet, avec la cruche d’eau, et allons-nous en ». 1 Samuel 26 : 11.
Il aimait ses propres ennemis, ne voulant pas leurs malheurs. « Tu aimes ceux qui te haïssent et tu hais ceux qui t’aiment, car tu montres aujourd’hui qu’il n’y a pour toi ni chefs ni serviteurs ; et je vois maintenant que, si Absalom vivait et que nous fussions tous morts en ce jour, cela serait agréable à tes yeux. » 2 Samuel 19 : 6.
Dans la douleur, le Seigneur Jésus-Christ pria le Père d’accorder le pardon à ceux qui l’ont crucifié : « Jésus dit : Père, pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font (…) ». Luc 23 : 34.
Ce fut de même pour Etienne, qui pardonna à ceux qui le lapidaient : « Puis ; s’étant mis à genoux, il s’écria d’une voix forte : Seigneur, ne leur impute pas ce péché ! Et, après ces paroles, il s’endormit. » Act 7 : 60.
Lorsque Dieu te convainc d’une souffrance due à un péché, le premier travail à faire est de t’examiner, a fin de voir s’il n’y a pas quelqu’un à qui tu n’as pas pardonné. Dans ce cas, pardonne-lui.
TRAVAIL A FAIRE SUR LE PARDON :
Prière : Le bien aimé X m’a fait du mal (décrire ce qu’il t’a fait), voici la douleur que je ressens et voici ce que je ressens quand je le vois.
Seigneur, je le pardonne en ton nom, donne moi un coeur pour l’aimer et oublier ce qu’il m’a fait.
Tu adresseras cette prière au Seigneur jusqu’à ce que tu ressentes la paix de Dieu en toi, car « Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose faites connaitre vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ. » Ph 4 : 6-7.
B- Eprouver le pardon
« Par là nous connaitrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos coeurs devant lui, car si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connait toutes choses. Bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. » 1 Jean 3 : 20-21.
C’est la conscience, cette petite voix morale au-dedans de tout un chacun, qui éprouve le pardon.
Lorsque tu vois la personne à qui tu as pardonné, quelle est la réaction de ta conscience ? Autrement dit, quels sont les sentiments qui t’animent ? Que ressens-tu dans ton coeur lorsqu’on prononce son nom ?
- Le complexe ?
- La honte ?
- La haine ?
- Le manque de courage de lui parler ou de le saluer ?
Si ton coeur te condamne, ne néglige pas cette réaction, car tu es encore esclave de l’acte que ton prochain a posé contre toi, et tes péchés ne sont pas pardonnés. Alors, reprend le travail sur ‟le pardon”, chasse l’esprit de haine, de complexe, de honte que tu ressens quand tu le vois.
Quand ce travail est réussi, tu ressens la paix et l’amour lorsque tu vois celui qui t’a offensé.
IV/ La confession du péché
La confession c’est l’acte d’avouer, de reconnaitre, de proclamer. Faire un acte public d’adhésion. Mais, pour cet enseignement, il s’agit de la confession des péchés. « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » 1 Jean 1 : 9.
A- La confession doit être sincère
Lorsque nous péchons involontairement, Dieu nous pardonne et nous purifie car nous avons un avocat auprès de lui : Jésus-Christ. « Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste. » 1Jean 2 : 1.
La condition est de demeurer dans la lumière pour connaitre le péché, ne pas le pratiquer et être en communion avec Dieu. En effet, le résultat du pardon de ceux qui t’ont offensé ou la paix avec le prochain se manifeste pour que le sang de Jésus-Christ, te purifie de tout péché. « Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son fils nous purifie de tout péché. » 1 Jean 1 : 7.
Pour faire une confession sincère, il faut la douleur du péché « Heureux l’homme à qui l’Eternel n’impute pas d’iniquité, et dans l’esprit duquel il n’y a point de fraude ! Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée, car nuit et jour ta main s’appesantissait sur moi. Ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. Pause » Psaume 32 : 2- 4. « Mon coeur tremble au-dedans de moi, et les terreurs de la mort me surprennent ». Psaume 51 : 5. Car sans elle, la confession est vide et cette confession constitue une abomination. Dieu veut que celui se confesse soit dans le remord, le brisement, la souffrance, le regret et même qu’il ait les larmes qui coulent. En effet, le péché qui produit la souffrance conduit à la repentance.
Relativement à ce travail, nous allons étudier quelques exemples de confession des prophètes dans la Bible.
B- Exemples de confession des prophètes
Le prophète est une personne qui entend la voie de Dieu et qui parle de sa part, « Car ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu » 2 Pierre 1 : 21. Voilà pourquoi il doit se confesser avec objectivité et précision. Le Saint-Esprit l’oriente dans sa confession. Mais, malheureusement nous remarquons qu’il y a des prophètes qui le font en tâtonnant de manière imprécise.
1- Confession de David
Alors au faite de sa gloire, David commet le crime d’adultère qui l’amène au meurtre. Le roi s’éprend de Beth-Shéba, épouse de son fidèle serviteur Urie. La jeune femme étant tombée enceinte, il envoie Urie à la pointe des combats pour qu’il y trouve la mort. Après cela, le prophète Nathan est envoyé chez le roi par l’Eternel pour lui faire savoir les conséquences de son péché.
Lorsque le prophète eut finit de lui dire la sentence de son péché, David,
Et toi, comment tu vois ta famille ? Tes enfants sont ils en souffrance ? Y a t-il des mariages dans ta famille ? Les gens réussissent-ils dans ta famille ? Examine-toi, ton péché peut causer tous ces malheurs avant de les condamner.
III/ Le pardon
Le dictionnaire définit le pardon comme étant la rémission d’une faute, d’une offense. C’est le moyen par lequel nous pouvons obtenir le pardon de Dieu. Matthieu 6 : 14-15.
A- Pardonner son prochain pour être pardonné par Dieu
Avant de demander pardon au Seigneur pour tes transgressions ou tes fautes, il faudrait d’abord pardonner à ton prochain. « Pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés » Math 6 : 12. Mais si tu refuses de pardonner ton prochain, Dieu agira de la sorte à ton égard et tu demeureras dans le péché, ce qui t’occasionnera des souffrances : « Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre père céleste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. » Math 6 : 14-15.
Le pardon est l’acte qui permet aux chrétiens de revenir vers leur Père céleste après avoir été offensé par le prochain, afin de rétablir la communion avec Dieu et son prochain. Il fut la force de David, qui l’accorda à Saul qui a cherché à le tuer ce, à plusieurs reprises. Lorsque David eut l’occasion de se venger il dit : « Loin de moi, par l’Eternel ! De porter la main sur l’oint de l’Eternel !prends seulement la lance qui à son chevet, avec la cruche d’eau, et allons-nous en ». 1 Samuel 26 : 11.
Il aimait ses propres ennemis, ne voulant pas leurs malheurs. « Tu aimes ceux qui te haïssent et tu hais ceux qui t’aiment, car tu montres aujourd’hui qu’il n’y a pour toi ni chefs ni serviteurs ; et je vois maintenant que, si Absalom vivait et que nous fussions tous morts en ce jour, cela serait agréable à tes yeux. » 2 Samuel 19 : 6.
Dans la douleur, le Seigneur Jésus-Christ pria le Père d’accorder le pardon à ceux qui l’ont crucifié : « Jésus dit : Père, pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font (…) ». Luc 23 : 34.
Ce fut de même pour Etienne, qui pardonna à ceux qui le lapidaient : « Puis ; s’étant mis à genoux, il s’écria d’une voix forte : Seigneur, ne leur impute pas ce péché ! Et, après ces paroles, il s’endormit. » Act 7 : 60.
Lorsque Dieu te convainc d’une souffrance due à un péché, le premier travail à faire est de t’examiner, a fin de voir s’il n’y a pas quelqu’un à qui tu n’as pas pardonné. Dans ce cas, pardonne-lui.
TRAVAIL A FAIRE SUR LE PARDON :
Prière : Le bien aimé X m’a fait du mal (décrire ce qu’il t’a fait), voici la douleur que je ressens et voici ce que je ressens quand je le vois.
Seigneur, je le pardonne en ton nom, donne moi un coeur pour l’aimer et oublier ce qu’il m’a fait.
Tu adresseras cette prière au Seigneur jusqu’à ce que tu ressentes la paix de Dieu en toi, car « Ne vous inquiétez de rien, mais en toute chose faites connaitre vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces. Et la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus-Christ. » Ph 4 : 6-7.
B- Eprouver le pardon
« Par là nous connaitrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos coeurs devant lui, car si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connait toutes choses. Bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. » 1 Jean 3 : 20-21.
C’est la conscience, cette petite voix morale au-dedans de tout un chacun, qui éprouve le pardon.
Lorsque tu vois la personne à qui tu as pardonné, quelle est la réaction de ta conscience ? Autrement dit, quels sont les sentiments qui t’animent ? Que ressens-tu dans ton coeur lorsqu’on prononce son nom ?
- Le complexe ?
- La honte ?
- La haine ?
- Le manque de courage de lui parler ou de le saluer ?
Si ton coeur te condamne, ne néglige pas cette réaction, car tu es encore esclave de l’acte que ton prochain a posé contre toi, et tes péchés ne sont pas pardonnés. Alors, reprend le travail sur ‟le pardon”, chasse l’esprit de haine, de complexe, de honte que tu ressens quand tu le vois.
Quand ce travail est réussi, tu ressens la paix et l’amour lorsque tu vois celui qui t’a offensé.
IV/ La confession du péché
La confession c’est l’acte d’avouer, de reconnaitre, de proclamer. Faire un acte public d’adhésion. Mais, pour cet enseignement, il s’agit de la confession des péchés. « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité. » 1 Jean 1 : 9.
A- La confession doit être sincère
Lorsque nous péchons involontairement, Dieu nous pardonne et nous purifie car nous avons un avocat auprès de lui : Jésus-Christ. « Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste. » 1Jean 2 : 1.
La condition est de demeurer dans la lumière pour connaitre le péché, ne pas le pratiquer et être en communion avec Dieu. En effet, le résultat du pardon de ceux qui t’ont offensé ou la paix avec le prochain se manifeste pour que le sang de Jésus-Christ, te purifie de tout péché. « Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son fils nous purifie de tout péché. » 1 Jean 1 : 7.
Pour faire une confession sincère, il faut la douleur du péché « Heureux l’homme à qui l’Eternel n’impute pas d’iniquité, et dans l’esprit duquel il n’y a point de fraude ! Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, je gémissais toute la journée, car nuit et jour ta main s’appesantissait sur moi. Ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. Pause » Psaume 32 : 2- 4. « Mon coeur tremble au-dedans de moi, et les terreurs de la mort me surprennent ». Psaume 51 : 5. Car sans elle, la confession est vide et cette confession constitue une abomination. Dieu veut que celui se confesse soit dans le remord, le brisement, la souffrance, le regret et même qu’il ait les larmes qui coulent. En effet, le péché qui produit la souffrance conduit à la repentance.
Relativement à ce travail, nous allons étudier quelques exemples de confession des prophètes dans la Bible.
B- Exemples de confession des prophètes
Le prophète est une personne qui entend la voie de Dieu et qui parle de sa part, « Car ce n’est pas par une volonté d’homme qu’une prophétie a jamais été apportée, mais c’est poussés par le Saint-Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu » 2 Pierre 1 : 21. Voilà pourquoi il doit se confesser avec objectivité et précision. Le Saint-Esprit l’oriente dans sa confession. Mais, malheureusement nous remarquons qu’il y a des prophètes qui le font en tâtonnant de manière imprécise.
1- Confession de David
Alors au faite de sa gloire, David commet le crime d’adultère qui l’amène au meurtre. Le roi s’éprend de Beth-Shéba, épouse de son fidèle serviteur Urie. La jeune femme étant tombée enceinte, il envoie Urie à la pointe des combats pour qu’il y trouve la mort. Après cela, le prophète Nathan est envoyé chez le roi par l’Eternel pour lui faire savoir les conséquences de son péché.
Lorsque le prophète eut finit de lui dire la sentence de son péché, David,
- Convaincu de sa faute dit :
« O Dieu, toi qui es bon, aie pitié de moi, toi dont le coeur est si grand, efface mes désobéissances. Lave-moi complètement de mes torts, et purifie-moi de ma faute. Je t’ai désobéi, je le reconnais, ma faute est toujours là, je la revois sans cesse. C’est contre toi seul que j’ai mal agi, puisque j’ai fait ce que tu désapprouves. Ainsi tu as raison quand tu prononces ta sentence, tu es irréprochable quand tu rends ton jugement. Oui, je suis marqué par le péché depuis que je suis né, plongé dans le mal depuis que ma mère m’a porté en elle ». Psaume 51 : 3-7 (version français courant).
- Ensuite il a besoin d’être purifié
« Purifie-moi avec l’hysope, et je serai pur, lave-moi et je serai plus blanc que de la neige. Annonce-moi l’allégresse et la joie, et les os que tu as brisés se réjouiront. Détourne ton regard de mes péchés, efface toutes mes iniquités. O Dieu ! Créée moi un coeur pur, renouvelle en moi un esprit bien disposé. » Psaume 51 : 9-12.
- Connaissant l’éloignement de Dieu, il veut un renouvellement
« Ne me rejette pas loin de toi, ne me prive pas de ton Saint-Esprit. Rends-moi la joie d’être sauvé, soutiens-moi par un esprit d’engagement. » ¨Psaume 51 : 13-14 (version français courant).
- Après qu’il ait avoué son péché, il a été délivré du poids de celui-ci
« Je t’ai avoué ma faute, je n’ai plus caché mes torts, j’ai dit : Je reconnaitrai devant l’Eternel les péchés que j’ai commis. Alors tu m’as déchargé du poids de ma faute. » Psaume 32 : 5 (version le Semeur).
2- Confession de Jérémie
Jérémie est un prophète de l’ancien testament, né probablement vers 650 avant Jésus-Christ, et c’est en 627 avant Jésus-Christ, bien qu’étant encore jeune, qu’il fut appelé par le Seigneur à être prophète.
2- Confession de Jérémie
Jérémie est un prophète de l’ancien testament, né probablement vers 650 avant Jésus-Christ, et c’est en 627 avant Jésus-Christ, bien qu’étant encore jeune, qu’il fut appelé par le Seigneur à être prophète.
- Recherche de la cause de la souffrance
Etant au service de l’Eternel, il constate que sa joie, sa paix n’est pas parfaite car il demeure dans une souffrance continuelle. Alors se tournant vers son créateur il lui dit : « pourquoi ma souffrance est-elle continuelle ? Pourquoi ma plaie est-elle douloureuse, et ne veut-elle pas se guérir ? Serais-tu pour moi comme une source trompeuse, comme une eau dont on n’est pas sûr ? » Jérémie 15 : 18.
- Réponse de Dieu à Jérémie
« C’est pourquoi ainsi parle l’Eternel : Si tu te rattaches à moi, je te répondrai, et tu te tiendras devant moi, si tu sépares ce qui est précieux de ce qui est vil, tu seras comme ma bouche. C’est à eux de revenir à toi, mais ce n’est pas à toi de retourner vers eux. » Jérémie 15 : 19.
Nous voyons que l’Eternel demande à Jérémie de se séparer de tout ce qui à peu de valeur, de tout ce qui est bas, indigne, corrompu, méprisable, mensonger et de s’abandonner totalement à lui afin de trouver la solution à la souffrance.
V/ La grande préoccupation
A- Celle de Dieu
Suite à la chute d’Adam et Eve en Eden, la grande préoccupation du créateur pour sauver sa créature du pouvoir du péché, et de rétablir la communion et l’intimité avec lui, était d’envoyer Jésus-Christ à la croix. Car, Jésus-Christ est le seul moyen que Dieu a donné aux Hommes, pour obtenir le salut. La Bible déclare à ce sujet que : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » Jean 3 : 16.
B- Celle de l’Homme
« Qui dira qu’une chose arrive, sans que le Seigneur l’ait ordonné ? N’est-ce pas de la volonté du Très-Haut que viennent les maux et les biens ? Pourquoi l’homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés » Lama 3 : 37-39.
Ce passage nous apprend que le bien et le mal viennent de Dieu. Ainsi, l’Homme doit se préoccuper de ses péchés, il doit s’éprouver chaque jour pour voir s’il est dans la foi. « Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi, éprouvez-vous vous-mêmes ? Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins peut-être que vous ne soyez reprouvés » 2Cor 13 : 5.
Il doit également se battre quotidiennement pour plaire à son créateur, en mettant en application ses commandements, sa parole et en évitant le péché. La deuxième épitre de Paul à Timothée dit ceci : « Fuis les passions de la jeunesse, et recherche la justice, la foi, la charité, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un coeur pur. Repousse les discussions folles et inutiles, sachant qu’elles font naître des querelles » 2 Tim 2 : 22-23.
VI/ Les cinq attitudes à éviter face au Saint-Esprit
Il y en a plusieurs, mais dans le contexte de la recommandation prophétique, nous en étudierons cinq uniquement.
A- Attrister le Saint-Esprit
Lorsque le Saint-Esprit te convainc du péché, si tu ne le confesse pas pour ensuite l’abandonner, tu l’attriste. « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption ». Eph 4 : 30.
B- S’opposer au Saint-Esprit
C’est ne pas accepter son oeuvre en toi, résisté à sa voie, à sa manifestation en toi. Act 7 : 51 « Hommes au cou raide, incirconcis de coeur et d’oreilles ! Vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi.
C- Eteindre le feu du Saint-Esprit
Lorsque tu as l’onction dans la prédication, l’enseignement, dans le service pour le Seigneur et que tu introduises la connaissance charnelle ou que tu sortes de la direction du Saint-Esprit, tu éteins le feu du Saint-Esprit. « N’éteignez pas l’Esprit » A Th 5 : 19.
D- Mentir au Saint-Esprit
Ne pas accomplir totalement ce que tu as résolu de faire pour la gloire de Dieu, c’est mentir au Saint-Esprit. Tu rentres dans la zone de la mort spirituelle et physique. Act 5 : 3 « Pierre lui dit : Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton coeur, au point que tu mentes au Saint-Esprit, et que aies retenu une partie du prix du champ ? »
E- S’accorder pour tenter le Saint-Esprit
Faire un complot pour satisfaire ta chair et ton orgueil, c’est tenter le Saint-Esprit. Tu reçois le même sort que celui qui ment au Saint-Esprit. Act 5 : 8-10 « Pierre lui adressa la parole : Dis-moi, est-ce à un tel prix que vous avez vendu le champ ? Oui, répondit-elle, c’est à ce prix-là. Alors Pierre lui dit : Comment vous êtes-vous accordés pour tenter l’Esprit du Seigneur ? Voici, ceux qui ont enseveli ton mari sont à la porte, et ils t’emporteront. Au même instant, elle tomba aux pieds de l’apôtre et expira. Les jeunes gens, étant entrés, la trouvèrent morte, ils l’emportèrent, et l’ensevelirent auprès de son mari ».
VII/ La pratique du péché
A- Qu’est-ce que pratiquer le péché ?
Il y a une différence entre le péché considéré comme acte involontaire et la pratique du péché. Pour le premier cas, nous bénéficions du pardon de Dieu après avoir pardonné notre prochain et confessé notre péché. « Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde » Pr 28 : 13. Mais pour le second cas, c’est un acte commis délibérément (tels que l’adultère, la fornication ou l’escroquerie) et Dieu ne connait pas de telles personnes, qui sont fils du diable, c'est-à-dire que c’est un esprit qui te gouverne.
C’est ce que la Bible nous dit : « Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pèche, parce qu’il est né de Dieu. C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère » 1 Jean 3 : 8-10.
Quand nous recevons Jésus-Christ dans notre coeur comme Seigneur et Sauveur, il vient vivre en nous avec toutes ses vertus, afin que nous renoncions au monde, tout en y vivant. « En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Evangile de votre salut, en lui vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis » Ap 1 : 13.
« Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. Elle nous enseigne à renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété, en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ » Tite 2 : 11-13.
Du fait que nous portons une chair corruptible, il est possible qu’elle s’affaiblisse et involontairement nous péchons. Mais ce péché produit en nous un regret profond, parce que nous sommes nés de Dieu et que le péché nous met mal à l’aise. Et, c’est après la confession que nous retrouvons la paix.
Celui qui pratique le péché et qui est en paix dans cette condition, c'est-à-dire dans les jugements, la haine, le vol, la fornication, l’adultère, le mépris, les consultations chez les féticheurs, est fils du diable. Et lorsqu’une telle personne se confesse, sa confession est une abomination devant Dieu et elle ne peut pas être pardonnée. La Bible dit : « Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles » Heb 10 : 26-27.
B- Prise de conscience de la pratique du péché
Dieu est amour, voilà pourquoi il hait le péché, mais aime le pécheur, et dans son amour, il vient frapper à ta porte pour te ramener vers lui. Et entendre sa voix, c’est la prise de conscience.
La personne qui prend conscience de la pratique du péché est une personne qui prie, sert Dieu, reçoit des bénédictions matérielles, est en bonne santé, mais dont la vie n’est pas conforme à la parole de Dieu qu’il prêche, lit ou entend. Dans cette condition, Dieu l’utilise pour les autres. Il se dira : pourquoi je commets de temps en temps l’adultère, la fornication, les jugements, la haine, le manque de pardon à l’égard de mon prochain, et je me confesse par moment ? Dans cette position, comment Dieu me voit ? Suis-je un sujet de bénédiction ou de malédiction pour le prochain ? Pourrai-je hériter le royaume des cieux ou j’irai en enfer ? Y a-t-il une solution pour moi ? Si oui, laquelle ?
Solution : tu es possédé par un totem ou un esprit qui produit ses oeuvres en toi. Les documents sur la possession et la repentance seront la solution à ton problème.
CONCLUSION
« Avant je ne connaissais pas mes torts, je me plaignais toute la journée, et mes forces s’en allaient. Nuit et jour ta main pesait sur moi et j’étais faible comme une plante brûlée par le soleil. Mais je t’ai fais connaitre mon péché, je n’ai pas caché ma faute. J’ai dit : « j’avouerai mes fautes au SEIGNEUR ». Et toi, tu as enlevé le poids de mon péché. » Psaumes 32 : 3-5
Nous voyons que l’Eternel demande à Jérémie de se séparer de tout ce qui à peu de valeur, de tout ce qui est bas, indigne, corrompu, méprisable, mensonger et de s’abandonner totalement à lui afin de trouver la solution à la souffrance.
V/ La grande préoccupation
A- Celle de Dieu
Suite à la chute d’Adam et Eve en Eden, la grande préoccupation du créateur pour sauver sa créature du pouvoir du péché, et de rétablir la communion et l’intimité avec lui, était d’envoyer Jésus-Christ à la croix. Car, Jésus-Christ est le seul moyen que Dieu a donné aux Hommes, pour obtenir le salut. La Bible déclare à ce sujet que : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il donné son fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » Jean 3 : 16.
B- Celle de l’Homme
« Qui dira qu’une chose arrive, sans que le Seigneur l’ait ordonné ? N’est-ce pas de la volonté du Très-Haut que viennent les maux et les biens ? Pourquoi l’homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés » Lama 3 : 37-39.
Ce passage nous apprend que le bien et le mal viennent de Dieu. Ainsi, l’Homme doit se préoccuper de ses péchés, il doit s’éprouver chaque jour pour voir s’il est dans la foi. « Examinez-vous vous-mêmes, pour savoir si vous êtes dans la foi, éprouvez-vous vous-mêmes ? Ne reconnaissez-vous pas que Jésus-Christ est en vous ? A moins peut-être que vous ne soyez reprouvés » 2Cor 13 : 5.
Il doit également se battre quotidiennement pour plaire à son créateur, en mettant en application ses commandements, sa parole et en évitant le péché. La deuxième épitre de Paul à Timothée dit ceci : « Fuis les passions de la jeunesse, et recherche la justice, la foi, la charité, la paix, avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un coeur pur. Repousse les discussions folles et inutiles, sachant qu’elles font naître des querelles » 2 Tim 2 : 22-23.
VI/ Les cinq attitudes à éviter face au Saint-Esprit
Il y en a plusieurs, mais dans le contexte de la recommandation prophétique, nous en étudierons cinq uniquement.
A- Attrister le Saint-Esprit
Lorsque le Saint-Esprit te convainc du péché, si tu ne le confesse pas pour ensuite l’abandonner, tu l’attriste. « N’attristez pas le Saint-Esprit de Dieu, par lequel vous avez été scellés pour le jour de la rédemption ». Eph 4 : 30.
B- S’opposer au Saint-Esprit
C’est ne pas accepter son oeuvre en toi, résisté à sa voie, à sa manifestation en toi. Act 7 : 51 « Hommes au cou raide, incirconcis de coeur et d’oreilles ! Vous vous opposez toujours au Saint-Esprit. Ce que vos pères ont été, vous l’êtes aussi.
C- Eteindre le feu du Saint-Esprit
Lorsque tu as l’onction dans la prédication, l’enseignement, dans le service pour le Seigneur et que tu introduises la connaissance charnelle ou que tu sortes de la direction du Saint-Esprit, tu éteins le feu du Saint-Esprit. « N’éteignez pas l’Esprit » A Th 5 : 19.
D- Mentir au Saint-Esprit
Ne pas accomplir totalement ce que tu as résolu de faire pour la gloire de Dieu, c’est mentir au Saint-Esprit. Tu rentres dans la zone de la mort spirituelle et physique. Act 5 : 3 « Pierre lui dit : Ananias, pourquoi Satan a-t-il rempli ton coeur, au point que tu mentes au Saint-Esprit, et que aies retenu une partie du prix du champ ? »
E- S’accorder pour tenter le Saint-Esprit
Faire un complot pour satisfaire ta chair et ton orgueil, c’est tenter le Saint-Esprit. Tu reçois le même sort que celui qui ment au Saint-Esprit. Act 5 : 8-10 « Pierre lui adressa la parole : Dis-moi, est-ce à un tel prix que vous avez vendu le champ ? Oui, répondit-elle, c’est à ce prix-là. Alors Pierre lui dit : Comment vous êtes-vous accordés pour tenter l’Esprit du Seigneur ? Voici, ceux qui ont enseveli ton mari sont à la porte, et ils t’emporteront. Au même instant, elle tomba aux pieds de l’apôtre et expira. Les jeunes gens, étant entrés, la trouvèrent morte, ils l’emportèrent, et l’ensevelirent auprès de son mari ».
VII/ La pratique du péché
A- Qu’est-ce que pratiquer le péché ?
Il y a une différence entre le péché considéré comme acte involontaire et la pratique du péché. Pour le premier cas, nous bénéficions du pardon de Dieu après avoir pardonné notre prochain et confessé notre péché. « Celui qui cache ses transgressions ne prospère point, mais celui qui les avoue et les délaisse obtient miséricorde » Pr 28 : 13. Mais pour le second cas, c’est un acte commis délibérément (tels que l’adultère, la fornication ou l’escroquerie) et Dieu ne connait pas de telles personnes, qui sont fils du diable, c'est-à-dire que c’est un esprit qui te gouverne.
C’est ce que la Bible nous dit : « Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui, et il ne peut pèche, parce qu’il est né de Dieu. C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, non plus que celui qui n’aime pas son frère » 1 Jean 3 : 8-10.
Quand nous recevons Jésus-Christ dans notre coeur comme Seigneur et Sauveur, il vient vivre en nous avec toutes ses vertus, afin que nous renoncions au monde, tout en y vivant. « En lui vous aussi, après avoir entendu la parole de la vérité, l’Evangile de votre salut, en lui vous avez cru et vous avez été scellés du Saint-Esprit qui avait été promis » Ap 1 : 13.
« Car la grâce de Dieu, source de salut pour tous les hommes, a été manifestée. Elle nous enseigne à renoncer à l’impiété et aux convoitises mondaines, et à vivre dans le siècle présent selon la sagesse, la justice et la piété, en attendant la bienheureuse espérance, et la manifestation de la gloire du grand Dieu et de notre Sauveur Jésus-Christ » Tite 2 : 11-13.
Du fait que nous portons une chair corruptible, il est possible qu’elle s’affaiblisse et involontairement nous péchons. Mais ce péché produit en nous un regret profond, parce que nous sommes nés de Dieu et que le péché nous met mal à l’aise. Et, c’est après la confession que nous retrouvons la paix.
Celui qui pratique le péché et qui est en paix dans cette condition, c'est-à-dire dans les jugements, la haine, le vol, la fornication, l’adultère, le mépris, les consultations chez les féticheurs, est fils du diable. Et lorsqu’une telle personne se confesse, sa confession est une abomination devant Dieu et elle ne peut pas être pardonnée. La Bible dit : « Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l’ardeur d’un feu qui dévorera les rebelles » Heb 10 : 26-27.
B- Prise de conscience de la pratique du péché
Dieu est amour, voilà pourquoi il hait le péché, mais aime le pécheur, et dans son amour, il vient frapper à ta porte pour te ramener vers lui. Et entendre sa voix, c’est la prise de conscience.
La personne qui prend conscience de la pratique du péché est une personne qui prie, sert Dieu, reçoit des bénédictions matérielles, est en bonne santé, mais dont la vie n’est pas conforme à la parole de Dieu qu’il prêche, lit ou entend. Dans cette condition, Dieu l’utilise pour les autres. Il se dira : pourquoi je commets de temps en temps l’adultère, la fornication, les jugements, la haine, le manque de pardon à l’égard de mon prochain, et je me confesse par moment ? Dans cette position, comment Dieu me voit ? Suis-je un sujet de bénédiction ou de malédiction pour le prochain ? Pourrai-je hériter le royaume des cieux ou j’irai en enfer ? Y a-t-il une solution pour moi ? Si oui, laquelle ?
Solution : tu es possédé par un totem ou un esprit qui produit ses oeuvres en toi. Les documents sur la possession et la repentance seront la solution à ton problème.
CONCLUSION
« Avant je ne connaissais pas mes torts, je me plaignais toute la journée, et mes forces s’en allaient. Nuit et jour ta main pesait sur moi et j’étais faible comme une plante brûlée par le soleil. Mais je t’ai fais connaitre mon péché, je n’ai pas caché ma faute. J’ai dit : « j’avouerai mes fautes au SEIGNEUR ». Et toi, tu as enlevé le poids de mon péché. » Psaumes 32 : 3-5